Oct 10
Un avis environnemental qui conforte les alternatives à l’autoroute. Communiqué de presse de « Pas d’Autoroute CASTRES-TOULOUSE » et du Collectif RN 126
Publié le lundi, 10 octobre 2016 dans Projets Nuisibles et Inutiles
L’autorité environnementale (Ae), instance chargée de rendre un avis sur l’évaluation de l’impact environnemental des grands projets d’infrastructures, vient de s’exprimer sur l’avant-projet de dossier de l’Enquête Publique concernant le projet Castres Toulouse.
L’année 2015 devait servir aux techniciens de la DREAL à « présenter un meilleur projet » par un « travail en finesse » pour limiter l’impact du tracé, sur les terres agricoles notamment.
En retoquant le dossier, par ses nombreuses recommandations, l’Autorité environnementale demande en clair à la DREAL de reprendre le dossier en profondeur.
Sep 24
Deuxième exode rural? RELOCALISONS l’économie et faisons revivre la gauche ! Pierre NOEL (2010) Tribune libre
Publié le samedi, 24 septembre 2016 dans Construire des alternatives
1er épisode: le lien vers deux articles posant la question de la dévitalisation de bourgades rurales :
https://resistanceinventerre.wordpress.com/2016/08/09/linquietante-devitalisation-des-bourgs-la-france-vit-un-deuxieme-exode-rural/
http://cafe-geo.net/des-bourgs-aux-metropoles-l-habitat-au-centre-ancien/#more-8872
2 ème épisode : un article écrit en 2010 et déjà publié sur ce blog en 2011. Remettons-nous le en mémoire et poursuivons notre réflexion
Avec en « commentaire », un point de vue de l’auteur -Pierre NOEL – en 2016. Un extrait ?
» Dans ce charivari des cultures, quelle place peut-il rester à la vie paisible, au voisinage de proximité, à la simplicité des échanges entre personnes humaines, entre elles et la nature, des liens entre êtres vivants, humains, animaux, plantes, à la continuité historique vivante des centres villes telle qu’elle peut se développer en zone rurale ? »
Au moment où, à l’occasion du débat public autour du Projet de Liaison Autoroutière CASTRES – TOULOUSE, nous préparions collectivement notre Cahier d’Acteurs : « Suffit-il de désenclaver le Sud du Tarn ? Non, il faut re-localiser l’économie ! « (http://alternatifs81.fr/?p=1003), certains parmi nous avaient demandé à notre camarade Pierre NOEL (des Alternatifs 65), de rédiger quelques lignes à partir d’une courte intervention faite lors d’un moment de travail de l’AMP (Alternative en Midi Pyrénées).
Il a rédigé le texte ci-après. Il nous semble intéressant de le redécouvrir, quelques mois plus tard, au moment où les thèmes abordés s’invitent de plus en plus dans le débat politique. . .
Relocaliser l’économie, et faire revivre la gauche.
La mondialisation, telle qu’elle est conduite depuis le début des
années quatre vingt, est le fruit d’une mise en concurrence orchestrée par les puissances capitalistes du centre1. Elle porte sur les systèmes fiscaux, sociaux, écologiques et démocratiques, souvent fruits d’historiques luttes des classes qui, par delà leur traduction en droit législatif et réglementaire, marquaient surtout une intention commune, c’est à dire partagée par une majorité culturelle, celle qui se donnait pour dessein d’ouvrir une ère nouvelle de justice sociale et d’émancipation.
Sep 13
Notre Dame des Landes : Vigilance et détermination des opposants , par le CéDpa et l’ACIPA
Publié le mardi, 13 septembre 2016 dans Projets Nuisibles et Inutiles
Sep 12
Mobilisation contre CETA et au-delà contre TAFTA et les autres projets d’accords de libre échange (Tisa, APE, etc.), en octobre 2016
Publié le lundi, 12 septembre 2016 dans Notre Economie et la leur
La période du mois d’octobre va faire l’objet d’une mobilisation contre CETA et au-delà contre TAFTA et les autres projets d’accords de libre échange (Tisa, APE, etc.).
Si nous avons un répit sur TAFTA (enlisement des négociations dû notamment au fait que les Etats-Unis refusent pour le moment l’ouverture de leurs marchés publics aux transnationales qui s’appuient sur l’Union européenne, et notamment la France, pour faire valoir leurs intérêts), les prochaines semaines et mois sont en effet cruciaux pour CETA, la Commission européenne faisant le forcing pour le faire ratifier par les états membres. Alors que la Commission espére une ratification du Conseil européen et une signature officielle avec le gouvernement canadien le 27 octobre, la prise de position, suite à la mobilisation citoyenne, de certains états membres (Belgique, Autriche, Hongrie, Pologne, …) ainsi que les discussions sur le champ de l’application provisoire (en soi scandaleuse) engageant d’autres états membres ne sont pas sans l’inquiéter. Un « accident » de ratification est certes loin d’être acquis mais il n’est plus impossible, à cette étape ou lors de l’éventuelle suivante au Parlement européen si la pression citoyenne s’avère suffisamment forte.
En France, il s’agit de contrer la communication fallacieuse du gouvernement, qui affirme que CETA est un « bon accord », et même un « anti-TAFTA », par l’interpellation des élus ainsi que dans la rue et les médias. Concernant ce dernier aspect, le collectif national Stop Tafta a pris l’initiative d’appeler à une réunion inter-organisationelle pour faire une grande mobilisation le 15 octobre (avant donc le Conseil européen).
Sep 1
Vers la fin du TAFTA ? Une annonce qui ne doit pas rester un trompe l’oeil… , par Maxime COMBES (Attac)
Publié le jeudi, 1 septembre 2016 dans Non classé, Notre Economie et la leur
Matthias Fekl et François Hollande ont annoncé vouloir « demander l’arrêt des négociations du Tafta ». Si elle doit être confirmée par des actes, cette bonne nouvelle, mérite examen : qu’exprime-t-elle ? Quel crédit faut-il lui apporter ? Signifie-t-elle la fin des négociations ? Que change-t-elle vraiment ? Et que devons-nous faire ?
Une victoire des mobilisations citoyennes
Rappelons-nous : c’est en catimini que le Conseil européen a confié un mandat de négociations à la Commission européenne le 14 juin 2013, des négociations à propos desquelles François Hollande affirmait vouloir « aller vite » pour éviter « une accumulation de peurs, de menaces, de crispations ».
Sans la détermination des nombreuses ONG, associations, syndicats et collectifs citoyens qui n’ont cessé d’exiger la transparence des négociations, d’en critiquer le contenu et de redoubler d’efforts pour informer la population, nul doute que ces négociations seraient restées opaques et inconnues du grand public – comme la très grande majorité des négociations d’accords commerciaux.
Août 19
Grèce : La mort sociale des retraités, par Stathis Kouvelaki
Publié le vendredi, 19 août 2016 dans Gauche de combat
Le parlement grec a voté le 5 mai 2016 un projet de loi aux lourdes conséquences pour la population puisqu’il portait à la fois sur la réforme des retraites et de nouvelles mesures fiscales. La discussion à la Vouli (= parlement grec) étalée sur un week-end a duré moins de 48 heures. Cette hâte s’explique facilement : il s’agissait en effet de faire passer de nouvelles décisions anti populaires avant la réunion de l’eurogroupe du lundi 6 mai. Le vote de ces mesures dans les délais impartis figurait en première ligne des exigences posées par la Troïka pour valider l’examen (review) de la mise en œuvre des engagements contractés par le gouvernement grec lors de la signature du troisième mémorandum. Après tout, ce même mémorandum, signé par Alexis Tsipras en juillet 2015 (un document de plus de mille pages sans les annexes), qui impliquait l’ensemble des mesures que le parlement grec ne fait que valider depuis cette date, avait également été voté en moins de 48 heures, là encore pour se conformer aux ultimatums de la Troïka et parfaire le tableau de la vassalisation du pays et de ses institutions représentatives.
Juil 12
Appel à la participation aux 2e Rencontres euro-méditerranéennes de l’économie des travailleurs : Usine Vio.Me, Thessalonique, Grèce, 28-29-30 octobre 2016
Publié le mardi, 12 juillet 2016 dans Autogestion, Construire des alternatives, Non classé
La première rencontre internationale de l’économie des travailleur-ses s’est tenue en 2007 en Argentine. Elle a réuni des travailleurs et des travailleuses d’usines récupérées et des collectifs de travail, des activistes sociaux et politiques, des syndicalistes et des universitaires. Depuis, ces rencontres internationales se tiennent tout les deux ans et constituent un espace de rencontres, de discussions et de réflexions sur les défis auxquels les travailleur-se-s sont confronté-e-s pour défendre par l’autogestion leurs moyens de subsistance contre les attaques du capitalisme mondialisé.
Dans plusieurs pays d’Amérique latine, la brutale restructuration néolibérale de l’économie des années 1990 a entraîné une rapide désindustrialisation et une hausse vertigineuse du chômage. Combinées à l’absence de protections sociales et à l’attaque généralisée sur les classes ouvrières, ces conditions ont créé les conditions de l’agitation sociale. La « récupération », c’est à dire l’occupation d’entreprises abandonnées et l’autogestion de la production par les travailleur-ses, font partie intégrante de la contre-attaque populaire menée en réponse à la crise générale, comme en Argentine, au Brésil, en Uruguay, au Venezuela et au Mexique.
Ces dernières années, les conditions qui ont débouché sur le mouvement de récupération des lieux de travail en Amérique latine se sont répandues en Europe et dans le reste du monde en proie à la crise du capitalisme mondial.
Juin 15
LA BARBARIE A VISAGE SPORTIF. Tribune libre Patrick MIGNARD
Publié le mercredi, 15 juin 2016 dans Non classé, Notre Economie et la leur