Le CéDpa n’a pas obtenu la totalité des documents qu’il demande à la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) concernant les gains de trajet pour les usagers du projet NDL, malgré l’avis favorable de la Cada et la volonté de transparence de Ségolène Royal. Pourtant, grâce à deux documents reçus du Ministère de l’Écologie récemment, il a mis à jour l’imposture du bénéfice économique du projet.
Comme l’écrit la DGAC, « les gains de temps pour les usagers sont la source principale de rentabilité économique du projet NDL ». Sans ces gains, pas de rentabilité… et donc pas d’utilité publique.
Dans le document d’enquête publique, les gains pour les usagers s’élèvent à 911 M euros sans précisions.
Nous savons maintenant qu’ils se décomposent ainsi :