Tunis : un Forum dynamique et chaleureux
http://fsm2013.wordpress.com/
Tunis : un Forum dynamique et chaleureux
Le Forum Social Mondial de Tunis a été marqué par une participation extrêmement nombreuse de militantes et de militants venant des quatre coins du monde. Ce sont plus de 60000 personnes qui se sont croisées, ont discuté et participé à de nombreux débats formels et informels. L’organisation a été des plus performantes compte tenu des difficultés inhérentes à ce type de manifestation de masse.
Mais le plus enthousiasmant a été sans doute l’atmosphère chaleureuse, sympathique et bienveillante qui régnait parmi les participant-e-s. Dans les travées du vaste campus El Manar, était installé un grand nombre de stands d’organisations les plus diverses sans compter quelques installations « clandestines ». Les espaces de restauration étaient pris d’assaut et ont permis beaucoup d’échanges dans la bonne humeur. Les trois jours du Forum ont été marqués par de nombreuses animations (suite…)
Cercle de Silence de Castres le vendredi 29 mars de 18 h à 19 h
Si vous n’admettez pas que l’on expulse de étrangers malades (voir le lien ci-dessous)
http://www.la-croix.com/Actualite/France/Le-cri-d-alarme-des-associations-sur-les-expulsions-d-etrangers-malades-_NG_-2013-03-19-922664
Si vous n’admettez pas le traitements infligés aux “sans papiers”
Venez participer au prochain Cercle de Silence de Castres le vendredi 29 mars de 18 h à 19 h place Jean Jaurès (près de la Fontaine)
Libérez Georges Abdallah !
Georges Ibrahim Abdallah, militant des Forces Armées Révolutionnaires Libanaises, a passé 29 ans dans les geôles françaises.
Il est libérable depuis 1999. Après plusieurs demandes, il a enfin obtenu le 21 novembre dernier un avis favorable à sa demande de libération, assorti d’un avis d’expulsion du territoire.
L’Etat s’acharne sur ce militant par le biais du ministère de l’Intérieur qui refuse de prendre cet arrêté d’expulsion.
Ce faisant, il cède aux injonctions américaines et israéliennes qui ne veulent pas le voir libérer.
Le Tribunal d’application des peines a reporté une seconde fois sa décision au 21 mars.
Les Alternatifs s’associent à l’exigence de libération immédiate de Georges Ibrahim Abdallah.
Salutations internationalistes,
la Commission internationale des Alternatifs
**Plus que jamais, il faut signer et faire signer la pétition adressée au ministre français de l’intérieur M.Manuel Valls :
http://www.avaaz.org/fr/petition/Liberation_de_Georges_Ibrahim_Abdallah/?ctovncb (suite…)
Sur quelles flammes souffle le ministre de l’Intérieur ? Communiqué LDH
Communiqué LDH
Paris, le 15 mars 2013
Provocation verbale assumée, retour du refoulé, dérapage soigneusement contrôlé ? Quelle que soit l’explication qu’on choisisse d’adopter, les propos du ministre de l’Intérieur reprenant une série de clichés détestables à l’encontre des Roms sont proprement intolérables, comme ils le seraient vis-à-vis de toute autre population. Alors que les Roms, citoyens européens, devraient bénéficier de la législation en vigueur, ils se voient assignés à résidence à travers une expression dépréciative, inimaginable pour tout autre membre de l’Union européenne. La déclaration du ministre exprime par ailleurs, et sur un mode catégorique, une sorte de vérité révélée selon laquelle les Roms « ne souhaiteraient pas s’intégrer ». C’est ahurissant : jusqu’à plus ample informé, ce sont bien les enfants roms qui tentent de faire valoir leur droit à la scolarisation et certains maires qui les en empêchent, pas le contraire. Il y a, de la même manière, une certaine indécence à leur reprocher les actes d’incendies volontaires dont ils ont été les victimes…
La Ligue des droits de l’Homme tient à exprimer sa condamnation de propos tout à la fois inconséquents et lourds de conséquences, très éloignés (suite…)
Contre l’ANI, nouveau pas dans la casse des conquêtes sociales, TOUS à la MANIF, mardi 5 mars 14h30 place du VIGAN à ALBI
L’Accord National Interprofessionnel, signé le 11 janvier par le MEDEF et 3 syndicats minoritaires, constitue un pas de plus vers la destruction des conquêtes sociales des deux derniers siècles, en particulier celles du Front Populaire, de la Libération – et du programme du CNR – et de mai 1968.
Il vise, en cassant encore un peu plus la philosophie et les articles phares du Code du Travail, à affaiblir la résistance des salarié-e-s, à casser le Contrat à Durée Indéterminée (CDI) , à « baisser le coût du travail ». Toute la logique de ce soi-disant « accord » est dirigée vers le profit du grand patronat et des actionnaires, au détriment des salarié-e-s mais aussi des Toutes Petites Entreprises.
Il s’inscrit dans la logique des mesures d’austérité imposées par le FMI, les banques et l’Union Européenne et mises en oeuvre par le Gouvernement « socialiste ».
Il ne fera que développer la précarité et qu’aggraver celle déjà existante.
N’est-ce pas suffisant pour nous mobiliser, pour refuser cette logique et imposer une autre politique ? Celle que nous construirons ensemble, à travers des démarches de « démocratie active » à visée « autogestionnaire ». Les Alternatifs y prendront leur part.
Disponibles pour toute démarche unitaire visant à combattre ce projet rétrograde et néfaste, nous participerons à la manifestation Intersyndicale (CGT, FO, FSU, Sud-SOLIDAIRES) mardi 5 mars, à 14h30, place du VIGAN à ALBI et appelons à en faire un premier pas vers l’amplification de la mobilisation .
Les Alternatifs du Tarn
le 3 mars 2013
27 février 2013 : journée internationale de soutien à Georges Ibrahim ABDALLAH (Communiqué du Comité PALESTINE 81)
Le 27 février 2013 sera une journée internationale de soutien à Georges Ibrahim Abdallah !
Emprisonné depuis 29 ans, sa libération exige une réponse politique sans plus attendre après la décision de la justice de le libérer. (suite…)
L’INDIGNATION PEUT CONDUIRE AU « CERCLE de SILENCE »
Cercle de Silence de Castres
Vendredi 22 février de 18 h à 19 h place Jean Jaurès (près de la Fontaine)
L’INDIGNATION PEUT CONDUIRE AU « CERCLE de SILENCE »
« Où t’en vas-tu donc si vite ? à la foire ? Chez le médecin ?
– Non, je vais au cercle.
–Mais le Cercle des officiers de la caserne n’existe plus !
– Tu retardes ma chère ! N’as-tu jamais vu un dernier vendredi du mois un petit rassemblement place Jean Jaurès, près de la fontaine ?
–Oui, en effet, j’ai vu quelque chose de bizarre depuis la brasserie, mais je ne me suis pas arrêtée ! Je n’aime pas les manifestations politiques, ni les groupes sectaires !
– Quelle erreur ! tu n’es pas curieuse ! C’est là que je vais une fois par mois, et voici presque 5 ans que nous nous tenons en silence, encadrés de pancartes, (suite…)
Un ANI qui nous veut du mal (déclaration unitaire et pétition à signer)
A l’initiative d’Attac et de la Fondation Copernic, associations, syndicats, partis politiques et citoyen-ne-s, lancent un appel afin que l’accord national interprofessionnel (ANI) signé le 11 janvier 2013 par le patronat et trois syndicats ne soit pas transcrit dans la loi.
Cet accord illégitime constitue, en effet, un recul social majeur, qui ne fera qu’aggraver la précarité du travail. Nous appelons chacun-e à s’en emparer et à s’engager pour qu’il n’acquière pas force de loi.
Vous pouvez signer (et faire signer) cet appel à ce lien.
A faire circuler et diffuser largement !
L’accord national interprofessionnel (ANI) du 11 janvier signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur.
Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement.
Par contre, les mesures en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail, chantage à l’emploi (suite…)
Vigilance et mobilisation pour la défense de nos droits démocratiques à manifester et à circuler librement
« La colère sociale, avec les conséquences de la crise économique et financière, la précarité, le chômage, les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des années« , a reconnu, mardi dernier 5 février, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, ajoutant « aujourd’hui on assiste moins à des mouvements sociaux, qu’à des implosions ou explosions sociales«
. Pour le premier flic de France, ces risques d’explosion sociale, « il faut les comprendre, mais on ne peut pas les admettre. On peut essayer de comprendre les raisons qui poussent des hommes et des femmes au désespoir mais on ne peut pas casser l’outil de travail« . Vous avez bien lu : « casser l’outil de travail« , et c’est un ministre d’un gouvernement soi-disant de gauche qui caractérise ainsi les (suite…)