Contre la Loi-Travail, tou.te.s dans la rue, ALBI place du Vigan mardi 14 juin, 14h 30! QU’ILS DÉGAGENT TOUS !
Mardi 14 juin 14h 30 Place du VIGAN à ALBI
Manifestation pour le retrait de la « Loi-Travail », à l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, SUD-Solidaires, UNEF, FIDL, UNL.
Alternatives et Autogestion appelle à participer, activement et massivement, au mouvement aux côtés des forces syndicales, de Nuit Debout, du Front Anti-Capitaliste 81. . .
Loin de « s’essouffler », le mouvement contre la « Loi-Travail » prend une autre dimension : raffineries bloqués ou arrêtées grèves reconductibles à la Sncf et à la Ratp, centrales nucléaires à l’arrêt. Le MEDEF s’entête. Ses valets du gouvernement s’embourbent. La droite s’empêtre dans ses contradictions. La majorité parlementaire est sérieusement ébranlée et continue à se disloquer.
L’heure est à renforcer la mobilisation.
L’heure est à faire face aux menaces de passage en force, de répression contre le mouvement social.
Tribunal MONSANTO : LA HAYE, 14-16 octobre 2016
Le Tribunal Monsanto est une mobilisation internationale de la société civile pour juger Monsanto pour crimes contre l’humanité et écocide. Il se tiendra à La Haye, aux Pays-Bas, du 14 au 16 octobre 2016.
Au nom du comité d’organisation, je vous écris pour inviter votre organisation à participer à cet important événement. D’une part nous organisons un Tribunal avec des témoignages de victimes des produits et pratiques commerciales de Monsanto. D’autre part, une Assemblée des peuples se tiendra en parallèle afin de rallier les mouvements sociaux et de planifier ensemble le futur que nous souhaitons.
Cet événement a été lancé par un vaste comité d’organisation comptant des membres éminents tels que Marie-Monique Robin, Olivier de Schutter, Vandana Shiva, Hans Herren, André Leu, Corinne Lepage, Ronnie Cummins et Gilles-Eric Seralini. L’initiative est déjà soutenue par plus de 100 organisations, dont La Via Campesina.
Brésil : solidarité avec la démocratie et les mouvements sociaux. Nao ao golpe, fora Temer !*
Les mouvements sociaux brésiliens sont aujourd’hui directement attaqués. Ils sont visés par une offensive politique de grande ampleur qui entraîne le Brésil dans une période de grande régression démocratique.
Depuis début mai, Dilma Rousseff, présidente élue avec 54 millions de voix a été mise à l’écart du pouvoir par les deux chambres. Des parlementaires – députés et sénateurs – massivement compromis dans des affaires de corruption ont institué une procédure de destitution contre la présidente, l’accusant d’irrégularités comptables pour minorer les déficits dans les comptes publics.
Cette pratique routinière de tous les gouvernements brésiliens ne constitue aucun des crimes de responsabilité prévus par la constitution brésilienne. C’est pourquoi les mouvements sociaux, les syndicats et toutes les forces progressistes du pays caractérisent la destitution de Dilma Rousseff de coup d’État institutionnel.
L’opération « Lava Jato », le scandale de corruption lié à la Petrobras – la compagnie nationale de pétrole – impliquant la classe politique brésilienne et les entreprises de BTP dans le financement des campagnes politiques, a scandalisé le peuple brésilien à juste titre. Tous les partis ont été concernés et les députés de droite qui ont mené la campagne contre la Présidente sont parmi les plus empêtrés dans le scandale de la Petrobras.
En s’appuyant sur les mobilisations populaires, la droite a estimé que le moment était venu de déclencher une grande offensive pour éliminer le Parti des Travailleurs dont ils n’ont jamais accepté les victoires électorales.
La procédure de destitution contre Dilma Rousseff a compté sur l’appui des puissantes Églises évangéliques, dont l’influence est importante sur le Parti du mouvement démocratique brésilien (PMDB) et plusieurs autres petits partis de droite qui ont la majorité dans les deux chambres (Parlement et Sénat).
La pratique du coup d’État légal semble être la nouvelle stratégie des oligarchies latino-américaines. Après le Honduras et le Paraguay, c’est le tour du Brésil. Ces nouvelles formes de coup d’État sans l’utilisation des armes s’appuient sur une classe politique très conservatrice et néolibérale.
« Nous sommes tous des Français ! » communiqué des ouvriers de l’usine autogerée VIO.ME au sujet du mouvement social en France
Nous sommes tous des Français
…… nous sommes tout ce monde qui se trouve dans la rue et a le courage de s’opposer au pouvoir qui afin d’imposer les politiques du capital n’hésite pas à piétiner sa constitution.
Nous sommes ceux qui sont méprisés, les immigrés, les ouvriers qui voient se détruire leurs droits, les mères qui ne voient pas d’avenir pour leurs enfants, les étudiants… qui seront des chômeurs diplômés.
Nous sommes avec ceux qui sont dans la rue et qui ont compris
que l’attaque du capital européen a commencé en Grèce mais ne s’y arrêtera pas. Nous sommes avec ceux qui luttent pour l’intérêt général et non le profit personnel.
Nous sommes Français et nous sommes avec vous, courage frères, vous n’êtes pas seuls, nous arrivons.
le 30 mai 2016
Notre-Dame-des-Landes, consultation du 26 juin 2016 en Loire Atlantique : On a tous une bonne raison de voter NON !
La Coordination des opposants (plus de 50 groupes – associations, collectifs, syndicats et mouvements politiques) a décidé, après discussion lors de sa réunion exceptionnelle du 31 mars 2016, de dénoncer haut et fort la mascarade que représente cette consultation mais d’appeler aussi les citoyens à aller voter massivement NON pour ne pas laisser le champ libre aux porteurs du projet.
La Coordination a toujours su s’adapter et réagir aux différentes turpitudes de ce dossier, aussi bien sur le terrain que sur les volets juridique et politique. Les fortes mobilisations de janvier et février 2016 autour de Nantes ont démontré la détermination et la cohésion de l’ensemble du mouvement.
La Coordination a décidé de faire une campagne très active sur le terrain, pour informer le public sur les véritables enjeux liés à ce projet : 24 réunions publiques dans tout le département du 44 sont prévues à cet effet.
Légitime défense ! (communiqué de presse)
Loin de « s’essouffler », le mouvement contre la « Loi-Travail » prend une autre dimension : raffineries bloqués ou arrêtées grèves reconductibles à la Sncf et à la Ratp, centrales nucléaires à l’arrêt. Le MEDEF s’entête. Ses valets du gouvernement s’embourbent. La droite s’empêtre dans ses contradictions. La majorité parlementaire est sérieusement ébranlée et continue à se disloquer.
L’heure est à renforcer la mobilisation.
L’heure est à faire face aux menaces de passage en force, de répression contre le mouvement social.
Qu’ils dégagent tous !
Lire en complément :
Grâce à qui ?
Congés payés. . .
Sécurité Sociale. . .
13ème mois . . .
aujourd’hui, (suite…)
POUR DIRE OUI A UNE ÉTUDE SUR LES ALTERNATIVES AU PROJET DE LIAISON AUTOROUTIÈRE CASTRES TOULOUSE. PÉTITION A SIGNER ET A DIFFUSER LARGEMENT
POUR PLUS D’ÉQUITÉ ET LE MAINTIEN D’UN RÉSEAU ROUTIER
PUBLIC DE QUALITÉ : USAGERS DE LA ROUTE, VOUS ÊTES TOUS CONCERNÉS !
ALORS, DITES OUI A UNE ÉTUDE POUR LES ALTERNATIVES AU PROJET AUTOROUTIER CASTRES TOULOUSE.
Interpellez la Présidente de Région LRMP et demandez-lui de faire réaliser avant l’enquête publique fin 2016, des études sur les alternatives au projet autoroutier Castres Toulouse, études que les services de l’État ont toujours refusées de faire.
- Signez la pétition
- Faites une promesse de dons (même symbolique) (*)
Lors de sa conférence de presse du 21 décembre 2015, Mme Carole DELGA, Présidente de la nouvelle Région LRMP, a défendu « la volonté de construire un nouveau rapport avec nos concitoyen-ne-s » en favorisant « … notamment la consultation préalable sur les grands dossiers … » avec « La mise en débat contradictoire d’alternatives aux grands projets d’aménagement du territoire basées sur des évaluations transparentes et indépendantes ».
Le bon sens, voire l’obligation morale vis-à-vis des usagers de la RN126 et des habitants du bassin Castres – Mazamet et des territoires traversés, veut que la solution « autoroute privée à péage » fasse l’objet d’une étude comparative à la « solution alternative publique » que constitue l’aménagement de l’existant parce que :
- l’intérêt économique de cette autoroute à péage est plus qu’incertain,
- l’impact sur l’environnement, le cadre de vie, l’agriculture, le trafic local, est avéré,
- plus de la moitié du financement se fait sur fonds publics (subvention d’équilibre et rétrocessions des déviations existantes),
Le « Nouveau contrat démocratique » de Mme Delga offre enfin la possibilité de réaliser des études via le service évaluation / prospective du conseil régional.
- En signant cette pétition, vous manifestez votre volonté de construire vous aussi un nouveau rapport avec vos élus.
- En faisant une promesse de don (*), vous montrez votre détermination à participer à un acte démocratique fort.
SIGNEZ ET PARTICIPEZ !
(*) Promesse de dons à indiquer dans la zone « Je signe parce que … »
Lien vers la pétition du PACT : https://www.change.org/p/la-pr%C3%A9sidente-de-r%C3%A9gion-languedoc-roussillon-midi-pyr%C3%A9n%C3%A9es-mme-delga-pour-une-%C3%A9tude-sur-les-alternatives-%C3%A0-l-autoroute-castres-toulouse