Le CéDpa n’a pas obtenu la totalité des documents qu’il demande à la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) concernant les gains de trajet pour les usagers du projet NDL, malgré l’avis favorable de la Cada et la volonté de transparence de Ségolène Royal. Pourtant, grâce à deux documents reçus du Ministère de l’Écologie récemment, il a mis à jour l’imposture du bénéfice économique du projet.
Comme l’écrit la DGAC, « les gains de temps pour les usagers sont la source principale de rentabilité économique du projet NDL ». Sans ces gains, pas de rentabilité… et donc pas d’utilité publique.
Dans le document d’enquête publique, les gains pour les usagers s’élèvent à 911 M euros sans précisions.
Nous savons maintenant qu’ils se décomposent ainsi :




Ce débat public est organisé pour
Tout porte à croire que les autorités ont décidé d’ accélérer le mouvement pour pouvoir déménager les espèces protégées cet hiver ; un retard d’’un an est déjà réel et elles n’’imaginent sans doute pas perdre une année supplémentaire. L’’arrêté d’autorisation de destruction des espèces protégées (voir point 3) devrait être pris début novembre et l’’arrêté « Loi sur l’’Eau » devrait suivre.
En mobilisant plus de 10 000 personnes sur l’urgence et la justice climatique, Alternatiba a tenu ses promesses ce dimanche 6 octobre à Bayonne. Dès le medi, des centaines de personnes avaient participé aux deux tables rondes du Forum sur le changement climatique organisé à la Faculté de Bayonne, ou au Forum off qui se tenaient dans les ruelles du Petit Bayonne. Le grand amphi s’est révélé insuffisant avec ses 400 places et plus de cent personnes n’ont pu assister aux scéances du matin et de l’après-midi.
Depuis vendredi 27 septembre l’usine Eurodif du Tricastin menace la France. A l’arrêt depuis juin 2012 et par ce que les nucléocrates veulent procéder à des démantèlements rapides pour cacher au plus vite leur forfait et continuer leur sinistre business de mort, les manœuvres d’extraction de l’uranium en cours se passent très mal. Une menace radioactive est en cours avec risque de dispersion de produits radioactifs dans l’atmosphère. Près de 1000 personnes, salarié-es du site nucléaire, ont été éloignées de la zone.