Droits des femmes et choix réels dont elles disposent – L’influence de la religion sur le statut des femmes, par Jacqueline Heinen*
La place occupée par la religion dans le champ politique n’a cessé de s’affirmer ces dernières décennies. Certes, les pratiques religieuses ont régressé dans plus d’un pays (notamment en Europe occidentale), mais elles ont tendu à s’amplifier à l’échelle mondiale, en lien direct avec la victoire du modèle néolibéral.
En effet, si la sortie de la guerre froide a suscité davantage d’attention vis-à-vis de la démocratie, des droits humains et des droits des femmes en particulier, on a assisté dans le même temps à un accroissement des inégalités économiques et sociales, qu’il s’agisse des écarts de revenus ou des taux de pauvreté.
Dans ce cadre, et alors que le recours aux arguments religieux restait une pratique courante chez les acteurs politiques de tous bords, nombre de mouvements religieux – en partie grâce au soutien de réseaux transnationaux de la finance et de diverses diaspora – ont vu leur assise et leur influence consolidées.
KANAKY : l’USTKE appelle à la grève générale le mercredi 3 août 2016
A la veille de 2018 : le rééquilibrage n’est pas au rendez-vous ! La problématique du rééquilibrage est vraiment en panne ! Le Medef, le Gouvernement, le Congrès, l’État sont dans le viseur de l’exécutif confédéral.
L’objectif affiché de cette mobilisation : sensibiliser au maximum la population sur l’accès des Kanak aux postes à responsabilité, et quels sont les dispositifs à mettre en place pour déjouer ce déséquilibre numéraire, et hautement politique sur le fond.
Les politiques de formation existantes depuis plus de 20 ans ne sont pas au rendez-vous, à l’aube du référendum d’autodétermination, et les chiffres le démontrent.
L’EPREUVE. Tribune libre Patrick MIGNARD
C’est incontestablement à une épreuve que nous sommes, en France, mais pas que, confrontés. Une épreuve redoutable aux multiples facettes – quatre exactement – à l’issue incertaine mais déterminante et fondamentale pour notre avenir.
Ce qu’il est convenu d’appeler le terrorisme nous a incontestablement dans le collimateur. C’est ce nous qui est important ! Tout le monde est visé,… ce qui est le propre du terrorisme : semer la terreur dans l’objectif d’une déstabilisation sociale.
Cette déstabilisation sociale peut répondre à plusieurs logiques qui s’imbriquent et rendent la perception de la situation à la fois complexe et imprévisible.
L’offensive de Daesh.
La France constitue certainement pour ces « fous de Dieu » une victime de choix car elle vise explicitement la laïcité, autrement dit la tolérance, fondement de notre République,. Déstabiliser ce modèle social est, pour Daesh, pousser à l’affrontement interreligieux et de susciter une forme de guerre de religions, voire de guerre civile.
La stratégie du Front National 
Comme toute organisation néo fasciste, le FN compte sur la crise économique, sociale, politique et idéologique pour marginaliser les partis traditionnels et remporter les prochaines élections. En ce sens, la stratégie de Daesh, même s’il ne peut évidemment pas le reconnaître, lui sert parfaitement. C’est en manipulant la peur et la colère, provoquées par le terrorisme, qu’il gagnera des voix (processus politique classique !).
Après les attentats. . . tenter l’analyse ?
Nous avons regroupé ici une dizaine d’articles parus dans divers médias (Politis, Médiapart, Arrêt sur info, . . .) depuis l’attentat de Nice, ceci afin d’affiner la compréhension et d’aider à l’analyse
Après Saint-Etienne-du Rouvray : vivre en sécurité ?, par l’UJFP
Hier, 26 juillet, le prêtre de l’église de Saint-Etienne-du Rouvray a été assassiné pendant la messe du matin. Un des paroissiens de l’église, gravement blessé. L’Union juive Française pour La Paix (UJFP) tient à rendre hommage aux victimes de cet attentat et assure leurs proches et tous les habitants de Saint-Etienne-du-Rouvray de toute sa solidarité.
Le groupe Daesh a déclaré la guerre au monde entier : aux musulmans, aux juifs, aux chrétiens, aux occidentaux, aux kurdes, aux yézidis… L’horreur qu’inspire ce type de mise à mort étudié, dans un lieu de culte devant des fidèles , si elle nous conforte dans la nécessité de combattre activement toutes les formes de haine ne doit pas nous empêcher de réfléchir aux moyens d’endiguer cette violence.