Mai 30
Samedi 9 juin 2018, Cercle de Silence MAZAMET
Publié le mercredi, 30 mai 2018 dans Libertés
Bonjour
Membres participants au Cercle de Silence de Mazamet depuis le 13 février 2010,
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nous avons participé aux Etats Généraux des Migrations du Tarn le 3 mars 2018 à Graulhet
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nous revendiquons une politique migratoire respectueuse des droits fondamentaux et de la dignité des personnes, (en lien avec les 101 assemblées et 10 000 personnes partie prenantes des Etats Généraux des Migrations du 27 mai 2018) :
Un respect des principes suivants :
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Un accueil digne des nouveaux arrivants
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Un respect du droit d’asile effectif, qui ne soit plus prétexte à une logique de tri
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Vers une égalité des droits entre Français·e·s et étranger·ère·s présent·e·s sur le territoire
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Une reconnaissance des initiatives citoyennes dans l’accueil et le soutien aux personnes étrangères
5. Modification des règles concernant l’accès au territoire français et des politiques européennes et internationales
Dans ce but, nous serons présents samedi 9 juin de 10h30 à 11h30 sur le marché de Mazamet , comme nous le faisons tous les 2èmes samedis de chaque mois. . .
Jan 20
Du Squat et du CAAT (Collectif Accueil Avec Toit à Albi)
Publié le vendredi, 20 janvier 2017 dans Construire des alternatives, Social
« Le 115, plus qu’une bouée, un cocon », c’est ainsi que La Dépêche du Midi (Tarn) intitulait l’article qu’elle consacrait à l’hébergement d’urgence dans le Tarn dans le journal du lundi 16/01[1]. « Le 115, un cocon », soit, mais un cocon qui prend l’eau…
L’article reconnaît, en effet, que le 115 ne suffit pas aux besoins en hébergement d’urgence dans le département : « 20 % [des personnes en situation difficile] ont pu bénéficier d’un hébergement d’urgence ». 20 % seulement, pourrait-on ajouter. Mais l’article, confiant dans les structures et les moyens mis en place par les pouvoirs publics, ajoute : « les autres n’ont pas pour autant terminé à la rue ». Quelles « solutions » sont donc trouvées ? On apprendra dans l’article qu’elles ne viennent pas des pouvoirs publics…
Pour détailler les dispositifs d’aide, parole est donnée, entre autres, à Bernard Crémon, chef du service inclusion sociale de la DDCSPP (Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations, un service de la préfecture), lequel reconnaît que si « les personnes à la rue sont très rares », c’est « grâce à des phénomènes de solidarité, soit dans des logements indignes soit dans des squats ».
Oct 16
Notre réponse . . .
Publié le dimanche, 16 octobre 2016 dans Libertés, No Pasaran !