La Jornada – Le 30 juin 2013 – Guillermo Almeyra
(Traduction Jean-Paul Damaggio)
Les soi-disant gouvernements « progressistes » appliquent des politiques néolibérales, légèrement modifiés par des mesures de protection sociale pour soutenir la consommation intérieure, et une forte intervention de l’Etat pour affirmer la domination capitaliste en général, avec en particulier un consensus apprécié – qui vient en grande partie de la peur d’un plus grand mal déjà connu.
Le gouvernement de Lula et celui de Dilma Rousseff n’ont pas fait de réforme agraire, mais au contraire ils ont renforcé l’agrobusiness, et transformé les terres où on cultivait les éléments de base de l’alimentation populaire par la production de canne à sucre qui est cultivée pour (suite…)