Vendredi 24 mai 2013, la fête à Solidarité Chômage Tarn !
INVITATION
A l’occasion de l’inauguration de son nouveau local
l’association Solidarité-Chômage-Tarn
organise une journée festive
à Castres
le vendredi 24 mai 2013
avec : (suite…)
Face à la crise perpétuelle, un autre monde est possible
Tract des Alternatifs-Isère du 1er mai
Augmentation du chômage et des inégalités
Depuis des mois, le chômage en France progresse continuellement. Il est actuellement de 11%. Depuis sa création, en trois ans, le nombre de bénéficiaires du RSA a augmenté de 13%(1). La France compte 3,6 millions de mal-logés(1). Les conditions de travail se dégradent : le nombre de victimes de maladies professionnels a beaucoup augmenté : entre 2005 et 2010, il est passé de 5 000 à 51 000(2). Les inégalités augmentent : par exemple, entre 2008 et 2010, la tranche des ménages des 10% plus pauvres a vu ses revenus baisser de 1,1%, alors que celle des 10% les plus riches a vu les siens augmenter de 4,3%(1).
Où en sont les promesses de Hollande ? Le gouvernement ne s’attaque aucunement à ces maux. Il renonce à la plupart de ses promesses électorales : loi sur l’interdiction des licenciements pour les entre-prises faisant des profits ; amnistie pour les militants syndicaux et associatifs ; renégociation du traité européen ; droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers aux élections locales. À la place, il fait voter la loi « sécurité et (suite…)
POUR UNE REDUCTION MASSIVE DU TEMPS DE TRAVAIL,tou-te-s à ALBI, 10h30 Place du VIGAN, le 1er MAI 2013
L’ensemble des salarié-e-s vient de subir un véritable coup de poignard dans le dos avec l’adoption, par une majorité parlementaire qui se prétend « de gauche » de l’accord interprofessionnel sur la précarisation du travail.
Alors que le chômage de masse ne cesse d’empirer, que la précarité augmente en même temps que s’aggrave la précarisation du travail, ces mesures cet accord censé « lutter contre » ( ?) ne fera qu’accentuer cette tendance lourde, en cassant le Code du Travail, en accentuant la flexibilité de l’emploi, en rendant les salarié-e-s encore plus corvéables pour un patronat dont les profits ne cessent d’augmenter
Plus que jamais, d’autres solutions que celles traduisant les desiderata du MEDEF s’imposent.
Elles passent, entre autres, par l’interdiction des licenciements, par l’aide à la reprise des entreprises par leurs salarié-e-s. Elles passent aussi par la mise en place d’une Sécurité Sociale Professionnelle et d’un Revenu Social d’existence. Elles passent d’abord par une Réduction massive du Temps de Travail (suite…)
Brèves, insuffisantes remarques sur « La règle verte ». Pour l’éco-socialisme
Notre camarade Alain VERONESE interroge ici un « oubli » majeur des interventions de Jean Luc MELENCHON : la Réduction (féroce) du Temps de Travail. Il s’agit d’un axe essentiel de notre projet « Rouge et Vert »
Il s’agit de la compilation de diverses interventions de Jean-Luc Mélenchon (salon Marjolaine, meetings de campagne électorale, Forum alternatif de l’eau, blog…).
Le co-président du Parti de Gauche, est depuis longtemps un professionnel de la politique, il connaît la musique et sait tourner la rhétorique en fonction de l’auditoire. La séduction pour être efficace se doit d’aligner les formules dont l’interprétation est laissée aux auditeurs. Il faut lire attentivement pour saisir que le Smic à 1 700 euros, entrainera une hausse généralisée des salaires,… ce dans une logique de décroissance sélective, en certains secteurs (la publicité, l’armement). Pourtant, le Rafale est un (suite…)
Chômeurs et précaires : en Marche sur Paris du 15 juin au 06 juillet
Le gouvernement contre l’amnistie des syndicalistes traînés en justice lors des mouvements sociaux
Le ministre des Relations avec le Parlement, M. Vidalies, vient d’annoncer que le gouvernement n’était pas favorable à l’amnistie des syndicalistes traînés en justice lors de mouvements sociaux. En clair, que le gouvernement ne soutiendra pas au Parlement le projet de loi, voté en première lecture au Sénat, qui amnistiait a minima les syndicalistes poursuivis le plus souvent pour s’être mobilisés contre des plans de licenciement et des provocations patronales. Cette déclaration abjecte sera allée droit au cœur d’un MEDEF qui n’avait pas ménagé ses critiques après le vote du Sénat. Et de l’UMP.
Les Alternatifs considèrent que cette décision gouvernementale, ahurissante pour un gouvernement qui ose encore se réclamer de gauche, non seulement tourne le dos à ses propres engagements mais s’inscrit explicitement dans la lignée sarkozyste de la criminalisation de l’action syndicale.
Les Alternatifs en appellent aux parlementaires socialistes et Europe écologie Les Verts pour qu’ils refusent cet énième tournant pro-patronal du gouvernement Ayrault et votent la loi d’amnistie.
Contre l’ANI, Gérard Filoche en meeting à Argelès
Äppel de « Notre Santé en Danger » contre l’ANI
Collectif «Notre Santé en Danger» mars 2013
Non à l’Accord National Interprofessionnel !
Non à sa transposition dans la loi !
L’Accord National Interprofessionnel (ANI) signé par le MEDEF / CGPME avec 3 syndicats de salariés est rejeté par des syndicats représentant une large majorité de salariés ainsi que par le collectif national « stop à l’ANI » qui représente de nombreux partis, associations, syndicats, personnalités.
L’ANI est dans la logique des fermetures et restructurations d’hôpitaux, maternités, centres d’IVG, centres de santé… que le collectif Notre Santé en Danger combat depuis plusieurs années :
– Nous refusons que de plus en plus d’usagers retardent les soins ou y renoncent à cause des franchises, déremboursements, dépassements d’honoraires, tarifs prohibitifs des complémentaires santé, manque de proximité …
– Nous voulons que cessent les suppressions de personnel de santé, du (suite…)
Contre l’ANI, nouveau pas dans la casse des conquêtes sociales, TOUS à la MANIF, mardi 5 mars 14h30 place du VIGAN à ALBI
L’Accord National Interprofessionnel, signé le 11 janvier par le MEDEF et 3 syndicats minoritaires, constitue un pas de plus vers la destruction des conquêtes sociales des deux derniers siècles, en particulier celles du Front Populaire, de la Libération – et du programme du CNR – et de mai 1968.
Il vise, en cassant encore un peu plus la philosophie et les articles phares du Code du Travail, à affaiblir la résistance des salarié-e-s, à casser le Contrat à Durée Indéterminée (CDI) , à « baisser le coût du travail ». Toute la logique de ce soi-disant « accord » est dirigée vers le profit du grand patronat et des actionnaires, au détriment des salarié-e-s mais aussi des Toutes Petites Entreprises.
Il s’inscrit dans la logique des mesures d’austérité imposées par le FMI, les banques et l’Union Européenne et mises en oeuvre par le Gouvernement « socialiste ».
Il ne fera que développer la précarité et qu’aggraver celle déjà existante.
N’est-ce pas suffisant pour nous mobiliser, pour refuser cette logique et imposer une autre politique ? Celle que nous construirons ensemble, à travers des démarches de « démocratie active » à visée « autogestionnaire ». Les Alternatifs y prendront leur part.
Disponibles pour toute démarche unitaire visant à combattre ce projet rétrograde et néfaste, nous participerons à la manifestation Intersyndicale (CGT, FO, FSU, Sud-SOLIDAIRES) mardi 5 mars, à 14h30, place du VIGAN à ALBI et appelons à en faire un premier pas vers l’amplification de la mobilisation .
Les Alternatifs du Tarn
le 3 mars 2013
Nouvelle victoire des Fralib : Unilever doit prendre ses responsabilités
Les Alternatifs Communiqué 28 février 2013
Nouvelle victoire des Fralib : Unilever doit prendre ses responsabilités
Le Tribunal d’instance vient d’invalider le troisième PSE que le groupe Unilever a initié pour fermer l’usine de conditionnement de thés et d’infusions de Fralib de Gémenos (13) . Il s’agit d’une nouvelle victoire des salariés de cette entreprise.
En lutte depuis maintenant 884 jours (presque deux ans et demi), les salariés exigent d’Unilever le maintien de la production sur place. Pour cela, ils ont développé un projet de reprise en SCOP de l’entreprise qui intègre une dimension politique et écologique. L’objectif est, non seulement le maintien de la production, mais l’abandon de tout composant chimique grâce à la relance d’une filière locale de production d’arômes. De même, ce projet cherche à s’inscrire dans une démarche de commerce équitable tant du point de vue des fournisseurs que des réseaux de distribution.
Mais un tel projet ne peut prendre forme en un jour. C’est la raison pour laquelle les (suite…)