Dans une Europe travaillée par les formations d’extrême droite ou de droite extrême, xénophobes et islamophobes, l’Allemagne est restée relativement épargnée. L’Histoire de ce pays, le travail critique qui y a été accompli après la guerre ont évidemment joué un grand rôle. Les tensions sociales et les peurs identitaires qui traversent l’ensemble du continent ne l’épargnent pas, mais la parole politique d’extrême droite est restée longtemps marginalisée et rejetée. Le NPD, parti d’extrême droite fondé en 1964 a connu des succès conjoncturels ou dans quelques Länder de l’ancienne RDA, mais n’a jamais pu accéder au Bundestag. Un de ses représentants a été élu au Parlement européen en 2014, mais avec 1 % des suffrages…
Ses liens avec la myriade de groupuscules ultra-nationalistes et avec la scène néo-nazie dans la jeunesse sont avérés . Il conteste la « culture de la culpabilité » dans la société Allemande ce qui le conduit à cultiver des positions révisionnistes. Autres éléments : la défense d’une « communauté populaire allemande » contre l’immigration, le durcissement du droit d’asile et une articulation entre nationalisme et antilibéralisme avec le slogan Sozial geht nur national (« le social ne peut être que national »). (suite…)


Pour Virginie Martin, politologue et fondatrice du Think Tank Different, face au «trouble civilisationnel» sur lequel joue le FN, la gauche doit assumer une réponse reposant sur les notions de cosmopolitisme et d’hybridation.
Manifestation le 26 octobre devant la prison de Lannemezan
Vendredi 25 octobre, REJOIGNEZ NOUS!
Tout porte à croire que les autorités ont décidé d’ accélérer le mouvement pour pouvoir déménager les espèces protégées cet hiver ; un retard d’’un an est déjà réel et elles n’’imaginent sans doute pas perdre une année supplémentaire. L’’arrêté d’autorisation de destruction des espèces protégées (voir point 3) devrait être pris début novembre et l’’arrêté « Loi sur l’’Eau » devrait suivre.