CERCLE DE SILENCE
Publié le samedi, 21 janvier 2012 dans Libertés
CERCLE DE SILENCE
Comme le dit Pablo Neruda, « Il meurt lentement celui qui ne voyage pas »
Les étrangers dans notre pays meurent lentement, car ils ne peuvent réaliser leur rêve de voyage, leur rêve de travail, leur rêve de vie en famille dans la sécurité.
Notre ministre de l’Intérieur s’enorgueillit des 30 000 personnes réexpédiées, menottes aux mains, hors de France,
Et nous, nous voulons redire haut et fort, par notre silence, notre opposition à cette politique de la haine du plus petit, du moins fort, du moins armé pour affronter la vie et ses désastres, nous voulons redire notre solidarité avec tous ceux qui demandent protection à la France.
le Cercle de Silence de Castres et, avec lui, les 180 Cercles de Silence de France, revendiquent la fidélité à la Charte des Droits de l’Homme.
Les Cercles de Silence sont ouverts à tout citoyen « ordinaire » ni
violent, ni fanatique, ni terroriste, ni fou. Ce sont des gens qui
demandent plus d’humanité dans les centre de rétention. Dans ces centres
sont enfermés des enfants et adultes pour le seul fait d’être entrés en
France pour vivre mieux ou pour sauver leur vie.
Les Cercles de Silence dénoncent également la politique du chiffre de
nos gouvernants avec pour conséquence des arrestations non justifiées
entraînant des souffrances qui auraient pu être évitées.
les Cercles de Silence dénoncent le « Délit de Solidarité » et l’enferment
d’enfants (contraire à la loi)
violent, ni fanatique, ni terroriste, ni fou. Ce sont des gens qui
demandent plus d’humanité dans les centre de rétention. Dans ces centres
sont enfermés des enfants et adultes pour le seul fait d’être entrés en
France pour vivre mieux ou pour sauver leur vie.
Les Cercles de Silence dénoncent également la politique du chiffre de
nos gouvernants avec pour conséquence des arrestations non justifiées
entraînant des souffrances qui auraient pu être évitées.
les Cercles de Silence dénoncent le « Délit de Solidarité » et l’enferment
d’enfants (contraire à la loi)
L’idéal est de rester une heure.
Cependant en fonction de vos disponibilités votre présence, même courte, attestera de votre soutien à
ce mouvement.
ce mouvement.
Avec nous, venez passer un moment, 10 mn ou une heure, le temps que vous pouvez, place Jean Jaurès (près de la fontaine)
VENDREDI 27 JANVIER entre 18 h et 19 h
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