Sep 18
LOI-TRAVAIL. . .carte blanche à Patrick MIGNARD
Publié le dimanche, 18 septembre 2016 dans TRAVAIL
Août 12
Sacrilège. . . Communiqué de Presse « Air France » d’Alternatives et Autogestion
Publié le vendredi, 12 août 2016 dans Libertés, Non classé, TRAVAIL
Ils ont osé toucher le corps d’un « chef ». . .
Sacrilège. . .
La meute de celles et ceux qui se sentent sali.e.s par ce contact immonde (et leurs valets serviles du microcosme politique et médiatique) crie à l’outrage, à la « Violence inacceptable ». . . à la « chienlit » !
Six de ces dangereux voyous iconoclastes furent arrêtés à l’aube, à l’heure des exécutions capitales que d’aucuns souhaiteraient, – pour l’occasion -, voir rétablies -.
Et maintenant, la honte! Le licenciement d’un des leurs est approuvé par la ministre.
Août 9
Air France : La chasse aux sorcières continue !, par la la confédération CGT, de la Fédération CGT Transports et du syndicat Ugict d’Air France
Publié le mardi, 9 août 2016 dans Non classé, TRAVAIL
Il n’y a pas de conquêtes sociales sans libertés syndicales. Gouvernement et Medef, en pleine lune de miel depuis 2012, l’ont bien compris : ils veulent museler le monde du travail pour imposer leurs réformes antisociales ! La chasse aux sorcières, qu’ils mènent contre toute forme de lutte et de contestation notamment envers les militants de la CGT, continue de plus belle.
Suite à l’affaire dite de « la chemise », le 5 octobre 2015, la direction d’Air France a décidé de licencier Vincent Martinez, délégué du personnel, élu CGT. L’Inspection du Travail s’est alors saisie du dossier, et après enquête, a invalidé le licenciement de notre collègue le 20 janvier 2016.
Air France, ne pouvant accepter cette décision, pourtant motivée sur un courrier de quatre pages, a envoyé un recours hiérarchique auprès de la Ministre du Travail, Myriam El Khomri. Celle-ci avait quatre mois, à compter du 3 février 2016, pour statuer sur cette demande de licenciement.
Juil 25
Loi Travail: ce qui attend les salariés. Rachida El Azzouzi et Mathilde Goanec (Mediapart)
Après cinq mois de contestation sociale et un troisième recours au 49-3, la loi sur le travail a été définitivement adoptée jeudi 21 juillet. Malgré plusieurs concessions, le gouvernement n’a pas reculé sur l’essentiel.
Allers, retours, la loi sur le travail a changé plusieurs fois de visage, et même de nom. Elle a été définitivement adoptée le 21 juillet 2016. Le gros des modifications remonte cependant à l’aube du débat parlementaire : le pré-projet, concocté par la ministre du travail Myriam El Khomri sous la houlette de Matignon, est une première fois raboté face à la pression conjointe des syndicats et de la société civile (voir l’ensemble de nos papiers sur la mobilisation dans notre dossier sur la loi Travail).
La commission des affaires sociales de l’Assemblée, théâtre d’un affrontement “droite-gauche”, mais surtout “gauche-gauche”, a ensuite évacué du texte d’autres dispositions très polémiques. Sans jamais toutefois toucher à son cœur, l’inversion de la hiérarchie des normes, ni à certaines de ses marges, comme le licenciement économique, les accords offensifs, la médecine du travail ou encore le référendum d’entreprise.
Juil 11
DÉCLARATION COMMUNE CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL
Publié le lundi, 11 juillet 2016 dans TRAVAIL
Les organisations syndicales de salarié-es et de jeunesse (CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) ont pris acte et dénoncent la nouvelle utilisation du 49-3, véritable déni de démocratie, pour faire passer le projet de loi travail.
C’est bien la preuve, si celle-ci était nécessaire, que ce texte de régression sociale reste minoritaire. Soutenues par une large majorité de la population, elles réaffirment leur opposition à ce projet et la nécessité de nouveaux droits pour les salarié-es, privé-es d’emploi, étudiant-es, lycéen-es, retraité-es. Ce sont encore plus d’un million qui ont participé à la votation citoyenne et signifié leur rejet de ce projet.
Les nombreux rassemblements et manifestations de ces derniers jours, notamment le 5 juillet, ont réunis plusieurs dizaines de milliers de participantes.
Les organisations syndicales et de jeunesse dénoncent les conditions contraignantes de manifestations qui ont empêché certain-es d’y participer.
Elles réaffirment que la liberté de manifester doit rester un droit.
Juil 1
Le souffle ne nous manque pas ! COMMUNIQUE CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL
Publié le vendredi, 1 juillet 2016 dans TRAVAIL
La journée du 28 juin a été comme toutes les autres journées de mobilisation depuis 4 mois, réclamant le retrait du projet de loi et l’obtention de nouveaux droits, un succès des salarié-es, jeunes, privé-es d’emplois et retraité-es, succès et détermination qui ne s’essoufflent pas ! Ceci malgré certaines conditions de manifestation qui n’ont pas permis à toutes et à tous d’y participer.
Les premiers résultats de la votation citoyenne, lancée par les organisations syndicales depuis un mois, ont été remis à l’Elysée au conseiller social du Président de la République le 28 juin au matin ainsi que dans les préfectures pour les votations départementales. Plus de 700 000 votants, 15 796 bureaux de votes principalement dans les entreprises, 92% des votants pour le retrait du projet de loi travail, viennent renforcer l’ensemble des rassemblements, actions et manifestations unitaires.
Juin 22
L’ombre portée de l’Europe sur la loi travail, Par Martine ORANGE (Mediapart)
Publié le mercredi, 22 juin 2016 dans International, TRAVAIL
source: https://www.mediapart.fr/journal/france/120616/lombre-portee-de-leurope-sur-la-loitravail
En juillet 2015, le Conseil européen publie ses recommandations pour la France, mise sous surveillance pour déficits excessifs. Il y préconise de favoriser les accords d’entreprise par rapport aux accords de branche. Pour de nombreux observateurs, ces recommandations sont le préambule à la loi El Khomri. La France s’est-elle fait imposer la réforme du travail par l’Europe ? Récit de la genèse de ce texte, conçu en «partenariat» avec Berlin. C’est une justification qui revient avec insistance pour expliquer l’incompréhensible comportement du gouvernement, prêt à négocier dans des conflits sociaux annexes comme à la SNCF, mais affichant une intransigeance absolue s’agissant de la loi sur le travail, en dépit de la fronde sociale dans tout le pays. « Si le gouvernement ne négocie pas, c’est qu’il ne le peut pas. Il est tenu par ses engagements pris à Bruxelles », confie un familier des milieux gouvernementaux.
Une explication donnée à plusieurs reprises par différents interlocuteurs, dont un député européen rencontré ces dernières semaines.
Juin 16
QUI NOUS SOMMES ?
Publié le jeudi, 16 juin 2016 dans TRAVAIL
Lise MASAROTTO, secrétaire de l’Union Syndicale des retraité-e-s du Tarn a lu ce texte en fin de la manifestation intersyndicale, le 14 juin 2016 à ALBI. Cri de colère sur le modèle de la « Proclamation des gueux »* qui accompagnait les manifestations de la révolte des vignerons en 1907.
QUI NOUS SOMMES ?
Nous sommes ceux qui travaillent
Nous sommes ceux qui produisent vos marchandises, vos services et vos richesses
Nous sommes ceux qui éduquent, qui soignent et qui transportent
Nous sommes ceux qui électrifient, qui raccordent et qui construisent
Nous sommes ceux qui ne veulent pas de votre loi « travail »
Nous sommes ceux qui sont privés de travail, qui en veulent et que vous insultez
Juin 11
Contre la Loi-Travail, tou.te.s dans la rue, ALBI place du Vigan mardi 14 juin, 14h 30! QU’ILS DÉGAGENT TOUS !
Publié le samedi, 11 juin 2016 dans Communiqués de Presse, Non classé, TRAVAIL
Mardi 14 juin 14h 30 Place du VIGAN à ALBI
Manifestation pour le retrait de la « Loi-Travail », à l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, SUD-Solidaires, UNEF, FIDL, UNL.
Alternatives et Autogestion appelle à participer, activement et massivement, au mouvement aux côtés des forces syndicales, de Nuit Debout, du Front Anti-Capitaliste 81. . .
Loin de « s’essouffler », le mouvement contre la « Loi-Travail » prend une autre dimension : raffineries bloqués ou arrêtées grèves reconductibles à la Sncf et à la Ratp, centrales nucléaires à l’arrêt. Le MEDEF s’entête. Ses valets du gouvernement s’embourbent. La droite s’empêtre dans ses contradictions. La majorité parlementaire est sérieusement ébranlée et continue à se disloquer.
L’heure est à renforcer la mobilisation.
L’heure est à faire face aux menaces de passage en force, de répression contre le mouvement social.
Mai 27
Légitime défense ! (communiqué de presse)
Publié le vendredi, 27 mai 2016 dans TRAVAIL