Je ne te connaissais pas
15 ans, déjà ! Je ne te connaissais pas, à l’époque. Je ne t’ai rencontré que quelques années après ta naissance, vers 2002 sans doute. Depuis j’attends avec curiosité le prochain numéro. . . Sur quel sujet va s’attarder le dossier central, qui m’informe et me bouscule ? Où fientera le Vieil Oiseau Noir cette fois-ci ? Que sera le « ça se passe comme ça. . . » ? Que me diront les dessins de N’Marc, les mouches de Smily ou les gravures de Kalié ? Où m’emmèneront les pages culture et à la découverte de quel film, quel livre ou quel chanteur, là-bas, près de chez moi.
Au fil des mois, tu m’es devenu indispensable, pour m’aider à avancer vers cette gauche de la diversité, où tous les sujets sont importants, où la pensée n’est pas figée. . .
Je crois que je ne vais pas attendre Noël pour abonner quelques connaissances : elles devraient apprécier le geste !
Tu fais la fête le 15 mai ? Je viendrai boire un coup avec toi, comme avec celles et ceux qui te construisent et les autres qui te lisent. . .
Lou Garrou
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